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Probable que le fer le fournit lui-même, en
transformant l’oxyde de carbone C O en azote Az2.
Co = 28 = Az2 = 28
Densité : Densité :
0,96978. 0,96978.
Point d’ébullition = Point d’ébullition =
- 190° -190°
Point critique Point critique
- 140° -140°
Solidifié à Solidifié à
- 207 - 207
Co = (C H2)2 = C2 H4
Fe= =(C2H,)2
.Cy= =C,HS
La présence du cyanogène pourrait s’expliquer
par là.
Et remarquons que le fer, à une haute
température, absorbe l’oxyde de carbone.
Le problème de la trempe et de l’aciération
restant sans solution, je veux pour mon propre compte,
dresser ce mémorandum.
Quand on trempe le fer à Peau, il devient dur.
Mais il se durcit encore plus en mercure, plomb,
étain, bismuth et tous les acides.
Moins dur qu’à Peau: dans l’huile de lin, huile
d’olive, suif, cire et résine.
Au lieu de tremper, on peut acérer le fer dans
du charbon, et encore mieux dans des débris
d’origine animale, ou dans ferrocyanure jaune de
potassium, c’est dire, en matières azotées.
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